COMPARAISON PAR RAPPORT AUX BANDES PVC

Tout d’abord le tapis textile apparut comme système de transport interne. Ensuite la bande PVC lui a succédé, mais tous deux sont devenus obsolètes après l’arrivée du tapis modulaire, compte tenu des raisons évidentes de nettoyage, maintenance et durée.
Le PVC se crevasse fréquemment par l’action mécanique des conditions de travail ou des agents chimiques du produit à transporter, en montrant la trame textile intérieure, qui lui donne la résistance nécessaire à son entraînement.
Cela favorise l’introduction de résidus et bactéries dans la bande elle-même de sorte qu’ils sont absorbés et se propagent par les matériaux textiles, ce qui rend impossible son nettoyage et désinfection.
Une autre conséquence de cette détérioration superficielle est l’émiettement de sa surface, au risque que des particules de PVC puissent s’incorporer au produit.

Étant donné que l’entraînement se fait par friction des tambours sur chaque extrémité du convoyeur, la bande risque de se déplacer sur sa largeur, ce qui pourrait lui causer des dommages en plus d’arrêts continus afin de réaliser des réglages. Même s’il y a des moyens pour pallier ce problème, seule la combinaison des pignons flottants et d’un pignon central fixe, propre au système modulaire, l’élimine totalement.

Les bandes en PVC peuvent être fournies:
– Sin fin: pour son installation il faut un convoyeur à structure démontable, donc plus coûteux à construire qu’un convoyeur conventionnel.
– Coupées sur mesure: la jonction doit se faire sur site, sur le convoyeur, et des outils spéciaux seront nécessaires à sa réalisation. Normalement elle est effectuée par du personnel qualifié du fournisseur, ce qui augmente les coûts.

Il faudra l’intervention de personnes qualifiées avec des outils spéciaux (des plaques de soudure, des souffleurs, et autres) pour la réparation de tout dommage. Par contre, les tapis modulaires pourront être réparés par du personnel sans qualification spéciale, étant minimal le coût de matériel et de temps.